Il est important de savoir que le monde de la climatisation est en pleine évolution afin de s’adapter à de nouvelles valeurs environnementales. En effet, il existe 2 types de gaz utilisés pour les climatiseurs dont le gaz R32 et le gaz R410A.
Le gaz R410A
D’emblée, le gaz R410A est surtout utilisé comme un fluide frigorigène dans les climatiseurs et les chauffages réversibles. En effet, par sa fonctionnalité, c’est un gaz qui permet de refroidir le système ; il permet d’apporter un maximum de confort pour les utilisateurs et permet de garantir des excellentes performances pour les pompes à chaleur réversibles. Il est également mieux à savoir que le gaz R410A remplace le gaz R22. Par ailleurs, du fait que le gaz est toxique, il est impérativement obligatoire de faire appel à un professionnel pour l’installation d’un climatiseur mural. En parallèle, le gaz possède un GWP ou Global Warming Power de 2088 alors que ce dernier doit normalement être entre 400 et 2030 d’après le seuil fixé par l’UE ou Union Européenne. Ainsi, cela permet de dire que cela est une problématique pour notre planète.
Le gaz R32
Le gaz R32 appartient aux hydrocarbures saturés ou HFC. Il est un fluide de difluorométhane. Toutefois, il est important de préciser que contrairement au gaz R410A, le gaz R32 possède un Global Warming Power qui est seulement de 675. Ce qui confirme que le gaz R32 est 3 fois moins nocif que le gaz R410A avec un Global Warming Power qui est de 2088. En parallèle, le gaz R32 est un gaz plus respectueux pour l’environnement puisqu’il est fiable et performant.
La réglementation F-gaz
Il est toutefois à savoir qu’il y a une norme environnementale dans le secteur de la climatisation. Dans la réglementation, ce dernier véhicule la réduction de gaz à effet de serre dans un but précis qui est de diviser par 5 les émissions de CO2 jusqu’au 2030. Pour y parvenir à cet objectif, la F-gaz a ainsi instauré l’interdiction de quelques gaz. Parmi les interdictions, il y a les gaz fluorés CFC ou le chlorofluocarbure ; ainsi les hydrofluocarbures. Ce dernier n’a pas des impacts directs sur la couche d’ozone ; toutefois, il accroît davantage l’effet de serre. Suite à ces nouvelles normes, le gaz R410A est également impliqué suite à son PRG qui est très élevé de 2088. Toutefois, si le gaz R410A est encore autorisé à la consommation, il est donc évident que ce dernier va être remplacé par des gaz qui seront moins nocifs.